“Qu'il y ait deux luminaires dans l'espace des cieux, pour distinguer le jour et la nuit. Ils serviront de signes pour les périodes, les jours et les années.”

L'astrologie, reine des sciences ou du moins la plus ancienne entreprise intellectuelle de l'histoire de l'humanité ?
Alors d'une incroyable subtilité est la grandeur de connaissance de nos ancêtres du mégalithique...

Le système solaire est un flux tendu d'ondes gravitationnelles dans lequel chacun baigne en permanence...

Cours d'astrologie

1°) Les rapports Croissance et Dominance Jour-Nuit (en durée) au cours d'une année, en fait rapport en jeu du collectif et du singulier, Yin-Yang annuel :
Répartition Dominances durées Jour-Nuit :
 biennale par l'axe horizontal des équinoxes,
et clivage singulier (bas) - collectif (haut)
Répartition Croissances durées Jour-Nuit :
  biennale par l'axe vertical des solstices
et accès du singulier au collectif (droite)
et du collectif au singulier (gauche)


Tao et Zodiaque
En haut, point blanc = la Saint Jean d'Hiver
En bas, point noir = la Saint Jean d'Eté


Le Yin, ici en Noir au centre est représentatif
de la durée et de la croissance de la nuit,
Le Yang, ici en Blanc au centre est représentatif
de la durée et de la croissance du jour.
C'est le Yin-Yang biennal, à l'occidentale :
La relation d'opposition différentielle
Jour-Nuit au travers de 2 critères conjugués :
Croissance & Dominance = 4 saisons.
"CAR" = Création, Action, Réaction
pour chacune d'elles
(ceci en toute subjectivité dans l'hémisphère Nord)
nommées en signes : cardinal, fixe mutable. 

 














Présentation brute du zodiaque tropique ou saisonnier, avec visualisation ci-dessus et sur partie droite :

LES 6 METAPHORES DU SINGULIER, dominance du JE (JD) :
Individuel de l'avoir, Printemps :
-BELIER (JC1/JD) : Métaphore de L'INTRICATION PULSIONNELLE (Martienne)
-TAUREAU (JC2/JD) : Métaphore du CHARNEL (Vénusienne)
-GEMEAUX (JC3/JD) : Métaphore de LA DECOUVERTE IMMEDIATE (Mercurielle)
Auxilliaire conjugé correspondant : 1) J'ai, 2) tu as, 3) il a.

Individuel de l'être, Eté :
-CANCER (NC1/JD) : Métaphore des ORIGINES (Lunaire)
-LION (NC2/JD) : Métaphore du REFERENTIEL (Solaire)
-VIERGE (NC3/JD) : Métaphore de LA RAISON (Mercurielle)
Auxilliaire conjugé correspondant : 1) Je suis, 2) tu es, 3) il est.

LES 6 METAPHORES DU PLURIEL, dominance du NOUS (ND):
Pluralisme de l'avoir, Automne :
-BALANCE (NC1/ND) : Métaphore de LA PULSION GREGAIRE (Vénusienne)
-SCORPION (NC2/ND) : Métaphore de LA SEXUALITE (Martienne)
-SAGITTAIRE (NC3/ND) : Métaphore de L'AILLEURS (Jupitérienne)
Auxillaire conjugé correspondant : 1) Nous avons, 2) vous avez, 3) ils ont.

Pluralisme de l'être, Hiver :
-CAPRICORNE (JC1/ND) : Métaphore de LA SOCIETE (Saturnienne)
-VERSEAU (JC2/ND) : Métaphore de L'IDEALISME (Saturnienne)
-POISSONS (JC3/ND) : Métaphore du MYSTICISME (Jupitérienne)
Auxillaire conjugé correspondant : 1) Nous sommes, 2) vous êtes, 3) ils sont.

Obliquité : 23°27' 
Position de la bande zodiacale (plaque en bleu) au fil de l'année : Les quatre sphères (points jaunes, et  celui en vert de l'équinoxe de printemps correspond à 0° Bélier) représentent les positions du Soleil au début de chaque saison. Le plan horizontal vert représente la terre ferme (l'horizon physique) pour une personne située sur le 50ème parallèle (Ex : sud agglomération de Lille). Noter la trajectoire de ces sphères (points jaunes et vert) et la durée de leur trajet au-dessus et en-dessous de l'horizon, ainsi que les lieux de leurs couchers et levers. Les cercles verts et rouge représentent les tropiques et l'équateur, respectivement, projetés dans le ciel. (Source : Wikipédia)
Les marées : http://www.dailymotion.com/video/x1aosfo_le-phenomene-des-marees_news


2°) La course de chaque astre dans le ciel : 

Boucles de Vénus et Mercure, en 8 ans (légèrement moins pour Vénus,
légèrement plus pour Mercure), respectivement 5 (pentagramme) et 22
Mercure met + ou – 7 jours pour parcourir un signe et + ou – 88 jours pour parcourir tout le zodiaque
Vénus met + ou – 20 jours pour parcourir un signe et met + ou – 243 jours pour parcourir tout le zodiaque.
La Lune met + ou – 2 jours pour parcourir un signe et met + ou – 28 jours pour parcourir tout le zodiaque.
Mars met + ou – 58 jours pour parcourir un signe et met + ou – 687 jours pour parcourir tout le zodiaque.
Jupiter met + ou – 1 an pour parcourir un signe et + ou – 12 ans pour parcourir tout le zodiaque.
Saturne met + ou – 2 ans pour parcourir un signe et 29 ans pour parcourir tout le zodiaque.
Uranus met + ou – 7 ans pour parcourir un signe et + – 84 ans pour parcourir tout le zodiaque.
Neptune met + ou – 13 ans pour parcourir un signe et + ou – 165 ans pour parcourir tout le zodiaque.
Pluton met + ou – 20 ans pour parcourir un signe et + ou – 248 ans pour parcourir tout le zodiaque.




3°)  Les Lunaisons (alors 28 ou 29,5 jours ?)

1*Mois sidéral (rotation complète de la Lune d'une étoile à cette même étoile, retour à la même position : 27,321 661 547 jours = 27 j 7 h 43 mn 11,557 s (soit moins des 28 jours qui sont généralement admis).
Courbe sinusoïdale N°1
* alignement théorique avec l'écliptique : athe(x)=23.5*sin(π*x/(27321661547/2000000000))
*sidéral réel déclinaison : srd(x)=18.5*sin(π*x/(27321661547/2000000000))
Phases Lunaires 
du calendrier :
Premier croissant
(ou quartier) : le soir
Dernier croissant
(ou quartier) : le matin

2*Mois synodique (ou lunaison, notion luni-solaire : retour à la même position par rapport au soleil, Nouvelle Lune ou Pleine Lune) : 29,530 5878 981 jours = 29 j 12 h 44 mn 2,8016 s (soit légèrement plus que la lunaison de 29 jours et demie généralement retenue pour le mois calendaire).
*A noter que la rotation de la Lune sur elle-même est égale à cette dernière durée, d'où la face cachée de la Lune...
Courbe sinusoïdale N°2
*axe nl pl calendrier nlpc(x)=23.5*sin(π*x/(295305878981/20000000000))

3*Mois draconitique ou nodal (temps mis entre deux passages sur le Noeud Nord ou le Noeud Sud, potentiel écliptique) : 27,212 22 jours = 27 j 05 h 05 mn 35,808 s.
* A noter que cette révolution nodale est naturellement rétrograde (dans le sens contraire aux autres ci-dessus et ci-dessous).
Courbe sinusoïdale N°3
* axe nodal ou des noeuds lunaires : nds(x)=5.7*sin(π*x/(2721222/200000))

4*Mois anomalistique (temps mis entre deux passages soit au plus près (périgée) ou au plus loin (apogée) de la Terre) : 27,554 55 jours = 27 j 13 h 18 min 33,12 s.
Courbe sinusoïdale N°4
* axe apogée-périgée : ap(x)=15*sin(π*x/(2755455/200000))

Courbe sinusoïdale N°1
sths(x)=23.5*sin(π*x/(27321661547/2000000000))
srd(x)=18.5*sin(π*x/(27321661547/2000000000))

Courbe sinusoïdale N°2
nlpc(x)=23.5*sin(π*x/(295305878981/20000000000))

Courbe sinusoïdale N°3
nds(x)=5.7*sin(π*x/(2721222/200000))

Courbe sinusoïdale N°4
ap(x)=15*sin(π*x/(2755455/200000))

4°) Les Signes sur la fresque de La Cène de Léonard de Vinci :
Quelque bulle par ci parla...(cliquer sur image pour agrandir...)
Le Signe du Capricorne est visible sur La Cène de Léonard de Vinci, c'est le quatrième personnage en partant de la droite, sous les traits supposés de Philippe IV le Bel, mis aussi en relation avec la constellation de la Couronne Boréale (ou la couronne cassée, allusion à la malédiction des Templiers  envers les Capétiens)...

Le Signe des Poissons est visible sur La Cène de Léonard de Vinci, c'est le cinquième personnage en partant de la droite (en vert clair, vert d'eau), sous les traits supposés de Hugues de Payns, avec deux assiettes devant lui correspondant aux planètes Mercure (à droite près de sa main gauche) et Mars (à gauche), ceci à une certaine date (1428, Jeanne d'Arc, entre autres). Egalement devant lui une carafe pouvant faire allusion à la fois à l'appartenance du personnage en question à la maison de Champagne mais également à une bulle (pontificale) du concile de Troyes en 1128 qui validera la fondation de l'ordre des Templiers. N.B.: PaynS commence et finit par les mêmes lettres que PoissonS, outre le fait que ce nom se prononce pain ou pinces, ce dernier mot étant intéressant pour le signe du Cancer (crabe) : 14-28 (de 1428) évoquant une potentialité de fécondation, la bulle de la carafe pouvant aussi insinuer le "bombé", le signe du Cancer étant celui de la maternité...
Egalement ce cinquième personnage de la Cène étant officiellement Jacques le Majeur, évoquerait Jacques de Molay, le dernier des templiers (et éventuellement Jacques 1° d'Aragon et de Majorque)...

Le Signe du Bélier est visible sur la fresque de La Cène de Léonard de Vinci, c'est le premier personnage en partant de la gauche en vert et bleu (au dia-bleu vaut vert ?), il s'agirait de Ludovic Sforza qui fut duc de Milan. Ses initiales ne sont pas sans rappeler Lune et Soleil, d'ailleurs sur le "poteau" au dessus de lui, luit une tangentielle du point Vernal ou gamma qui est le référen-tiel de l'ère des Poissons à 0° degré Bélier d'équinoxe de printemps (précession des équinoxes : décalage signes-constellations instauré par le christianisme); Il semble protester contre l'évocation (païenne) de l'ère du Taureau, en effet plus la droite sur la table figure un taureau inclus dans le bas du quatrième personnage et sous le bras du troisième en partant de la droite (l'ère du Taureau a cependant son importance, il en sera question avec le signe du Taureau et des Gémeaux). A noter les trois "poteaux" décorés plus haut à gauche qu'à droite, et qui indiqueraient le Nord de l'Italie plus élevé en latitude (à gauche, Sforza à Milan) par rapport au Sud plus bas en latitude (à droite, avec Platon et Archimède, royaume des deux Siciles, et accessoirement Syracuse qui permet le calembour : sire accuse).
.Egalement ce premier personnage de la Cène étant officiellement Barthélémy, qui permet aussi ce calembour : Bar tel est mis, une allusion d'abord au Roi René qui fut (entre autres Duc de Bar et que l'on retrouve dans le royaume de Sicile) et peut-être aussi à Jean 1° de Berry dit le Duc de Berry, ces deux personnages confondus dans le troisième personnage en partant de la droite qui indique avec ses mains le taureau sur la table, faisant protester le premier à gauche : celui du du Bélier...
D'ailleurs ce troisième personnage en partant de la droite est le Sagittaire, qui permet le calembour : s'agite(nt) ère(s), qui ramènent aux ères, mais aussi aux "R" de BaR et de BeRRy (et qui plus est aux "R" de BélieR et de TauReau ?) ...

Le Signe du Taureau est visible sur la fresque de La Cène de Léonard de Vinci, c'est le deuxième personnage en partant de la gauche : Jacques le Mineur officiellement, mais alias Jacques II de Majorque (toque ou cheveux roux comme Roussillon et casaque rose pour Rosas (la baie, où l'on trouve en sa partie sud l'antique port gréco-romain d'Empúries)... N.B. : Phonologie Rosas & rosace

Devant ce personnage un imprimé bleu figure sur la table, qui "démarre" entre lui et son voisin de table, et que l'on retrouve d'ailleurs de l'autre côté aussi entre les deuxième et troisième personnages, c'est l'évocation de l'ère du Taureau, l'ère du Bélier a suivi, puis l'ère des Poissons depuis 2015 ans qui se termine bientôt avant d'aborder la fameuse ère du Verseau dont on parle tant actuellement, tout ceci n'étant qu'une perspective intellectualisée de la précession des équinoxes (une ère = 2160 ans à signes égaux de 30°)  parce que seule l'ère du Taureau incluait initialement une donnée céleste bien palpable visuellement que l'on retrouve en imprimé sur la table et qui correspond à...la Voie Lactée, avec le lever héliaque de Sirius qui coïncidait alors avec le point Vernal déterminant l'équinoxe de printemps.
Cependant que les tracés en bleu sur la table de part et d'autre sont bien explicités par ce deuxième personnage à "l'encolure" bleue...

La Voie Lactée part en effet depuis l'espace entre Taureau et Gémeaux, traverse le zodiaque en courbe à l'intérieur du cercle en passant par la constellation de Cassiopée (plutôt côté Poissons) pour se retrouver de l'autre côté entre Scorpion et Sagittaire, mais cela sera vu par la suite en abordant ces deux signes sur La Cène...
Ce qui fait de l'ère du Taureau le référen-tiel Vernal initial et fondé depuis près de 6500 ans, à supposer que l'on raisonne en constellations égales, or les constellations du Taureau et du Bélier ne sont pas très grandes, cela peut donc raccourcir la durée indiquée à 6000 ans, soit 4000 an environ avant notre ère...
A noter que la constellations les plus grandes sont dans l'ordre (et en opposé) : la Vierge et les Poissons, pas idiots les premiers chrétiens, qui ont d'ailleurs instauré le système des signes égaux occultant les constellations dont ils reprenaient la symbolique et les noms dédiés aux traditions saisonnières à adopter pour la saine gestion d'une société agraire basée sur la course du soleil (écliptique) avec en quadrature : solstices et équinoxes..
La question de la toile de fond (ensemble des constellations) à variable de 1° tous les 72 ans et donc non fiable était ainsi réglée : les signes seraient dorénavant fixes, eux.
Mais De Vinci a cependant camouflé Cassiopée aussi sur la Cène, pour mémoire (à voir par la suite...), la voie lactée étant associée à un rite de fécondité...

Le Signe des Gémeaux est visible sur la fresque de La Cène de Léonard de Vinci, c'est le troisième personnage en partant de la gauche : André officiellement, mais officieusement ce serait Charles le Chauve, un des trois petit fils de Charlemagne qui recevra la Francie Occidentale (= l'Ouest de la France mais avec ambiguïté sur la Bretagne) dans le partage de l'empire carolingien en 843 : traité de [u]Verdun[/u] (or le 3° personnage est capé [b]d'un ver[/b]t foncé).
Il a les deux mains en [b]l'air[/b] (rappelant les Gémeaux (dioscures) : Castor et Pollux) comme pour montrer son innocence dans la discussion qui semble animer la mise en sCène. Il peut rappeler la troisième partie d'entrée d'une certaine forteresse et à ce titre représenter également les (deux époux) dits rois très catholiques qui l'ont fait construire : Isabelle de Castille et Ferdinand d'Aragon, ce dernier nommé cadrant d'ailleurs assez bien (en gras) avec "André"...(malin, le Léonard ?)
(à suivre...)
Devant lui à sa gauche est un plat rempli rend pli sur la table marquant le solstice d'été après le printemps et ses trois signes (Bélier, Taureau et Gémeaux en partant de la gauche) comme de l'autre côté un autre plat rempli indique le solstice d'hiver après l'automne et ses trois signes (Balance, Scorpion Sagittaire respectivement en partant de la droite). Sous chacun de ces deux plats au droit de ceux-ci et à la verticale en bord de table part au sol une ligne vers le fond, ce sont les lignes des tropiques (liées aux solstices) dessinées en perspective : le zodiaque des signes est dit "tropique" ou saisonnier, tandis que le zodiaque des constellations est dit "sidéral" mais abandonné depuis 2015 ans officiellement, au début de notre ère à cause de sa non-fiabilité par décalage progressif dû à la précession des équinoxes,
(à suivre...)

Le signe du Cancer est visible sur la fresque de La Cène de Léonard de Vinci, c'est le quatrième personnage en partant de la gauche : Judas officiellement, mais officieusement ce serait Foulques Nerra (d'Anjou, ouvrant le calembour : en joue...).
Sa tête se trouve à l'aplomb de la ligne (au sol) du tropique qui porte son nom (tropique du Cancer), il est aussi le personnage situé au plus bas, comme le départ du signe du Cancer sur le zodiaque, il est assez "bronzé ou sombre" indiquant le périgée lunaire, également appelé queue de Lune Noire ou encore priape, ce dernier mot permet le calembour : prix à payer (priape ayez), il tient d'ailleurs une bourse avec sa main droite, conformément à la tradition...
Son épaule et son côté droit ont la forme d'un nouveau né de bleu langé (calembour : l'Angers ou Langeais), il pourrait s'agir d'un héritier de la couronne de France décédé enfant (officiellement de la rougeole à Amboise), fils d'Anne de Bretagne et de Charles VIII : Charles Orland de France, tous des contemporains de De Vinci et même juste à l'époque où il a peint la fresque de La Cène, à la fin du XV° siècle...
Si ce quatrième personnage en partant de la gauche est situé au plus bas, il fait face au quatrième personnage à partir de la droite et situé au plus haut mais aussi sur le zodiaque à son point 0°: le Capricorne (alias Philippe...le Bel ?), en apogée (lunaire).
Donc d'une pierre deux coups de bas en haut sur le zodiaque : Cancer-Capricorne (solaire) et Périgée-Apogée (lunaire).

Le signe du Lion est visible sur la fresque de La Cène de Léonard de Vinci, c'est le cinquième personnage en partant de la gauche : Pierre officiellement, mais officieusement il pourrait représenter plusieurs personnages, ceci en fonction de "sa voisine" : la Vierge...
1°) Il pourrait s'agir de Pierre Landais (initiales P L comme Pleine Lune), le principal conseiller du duc François II de Bretagne, qui le laisse gouverner la Bretagne (à supposer que sa voisine à droite soit sa fille Anne de Bretagne), ou peut-être ce cinquième personnage : le duc lui-même.
2°) Il pourrait s'agir également de Rodrigo Borgia (alias le Pape Alexandre VI), à supposer que sa voisine soit Lucrezia (Lucrèce) Borgia. 
3°) Il pourrait encore s'agir du pape Calixte III (Alonso de Borja i Llançol, plus connu sous le nom de Alfonso Borgia), oncle du précédent nommé et connu pour avoir accepté le procès en révision de la condamnation de Jeanne d'Arc qui avait été jugée « relapse et hérétique » dans un premier temps et de finir sur le bûcher à Rouen, tout dépend de sa voisine aussi...
Les trois hypothèses sont plausibles, et De Vinci fait peut-être là "un tir groupé" à propos du XV° siècle (la fresque de La Cène a été peinte dans le dernière décennie du XV° siècle, et l'imprimerie n'en était qu'à ses débuts)...
Il ne faut pas oublier que l'étoile principale du Lion est Régulus, si proche (ou à l'origine ?) du mot "règle", le Lion symbolisant la métaphore paternelle (de type référentiel), mais il existe aussi "les règles" et les femmes de l'époque étaient parties prenantes dans le système politique basé sur l'Alliance-Echange (des biens et des personnes) pour régler les conflits, assumer les traités...et produire des héritiers qui scelleront biologiquement les unions... politiques ! Ce fut bien le cas (et doublement !) d'Anne de Bretagne et de Lucrèce Borgia, et accessoirement de Jeanne d'Arc sur un autre registre plus...virginal (et pour autant que Domrémy était un village du duché de Bar (13ar)...
13retagne et 13orgia encore mieux peuvent compter sur leur première lettre (B) pour composer 13, soit le nombre de lunes sidérales de 28 jours dans une année (28x13=364), allusion au 13° signe, le Serpentaire personnage central de La Cène, celui (le 13°) que la Lune synodique du calendrier de 29,5 jours ne saurait admettre (à 29,5x12=354 Pythagore !), tandis que 30x12= 360, référentiel du cercle, et pour les 5,25 jours restants : voir les épagomènes égyptiens.... 

Le signe de la Vierge est visible sur la fresque de La Cène de Léonard de Vinci, c'est le sixième personnage en partant de la gauche : Jean officiellement, mais officieusement il pourrait représenter plusieurs personnages, La note SI a été crée avec les initiales de Sancte Iohannes (Saint-Jean), et à propos avec des "Si" : et si ce sixième personnage représentait :
1°) Anne de Bretagne
2°) Lucrezia (Lucrèce) Borgia.
3°) [b]Jean[/b]ne d'Arc
Remarquer le blond vénitien du personnage et le Lion de Venise (tête) en filigrane sur le poteau marron à suivre à côté, en effet au XV° siècle l'empire Ottoman menaçait et les vénitiens ont bien aidé et les Milanais et les Français, ensemble puis séparément, il leur est attribué une belle aide aux français pour la victoire de Marignan (1515) par la suite au début du XVI° siècle...
Ce personnage en singeant peut aussi représenter :
4°) La Déesse Vénus, tenant entre ses mains un pentagramme blanc virginal (signe de la Vierge) sous forme de...for-mage...comme un petit capital !
5°) La propre mère de Léonard de Vinci, pour la quelle il était question d'une odalisque (Cauda Serpentis, partie du "13° signe" le Serpentaire) et Queue de Lune Noire conjuguées sur sCène (En Latin, Caput voulant dire tête et Cauda : queue, à remarquer les consonances Ut et Od ou Do, annonçant la substitution de la note Ut en Do...comme [b]Do[/b]ge(s)...de Venise !).
6°) Hélène de Troie (LN comme Lune Noire), ou encore Marie-Madeleine comme M-Arie Mad-LN (Aries = le Bélier ou 13-élier (13 est lié), et LN = Lune Noire)
Jean est aussi l'anagramme (phonétique) de ange (où l'on retrouverait les angevins : Foulques Nerra ou encore René d'Anjou), mais aussi (plus poussé) de enjeu...
Et enfin pour clore le signe de la Vierge ce lien :61:

Le signe de la Balance est visible sur la fresque de La Cène de Léonard de Vinci, c'est le premier personnage en partant de la droite : Simon officiellement (qui autorise déjà le calembour six monts ou si mon...), ce personnage serait Platon (avec les plateaux de la Balance formée par chacune de ses mains, et qui évoqueraient aussi le royaume des deux siciles).

Le signe de la Balance à droite en bout de table est en face de celui du Bélier, normal sur le zodiaque, de plus cela indique bien la ligne des équinoxes et la table serait ainsi clairement alignée équatoriale, d'ailleurs il est fait référence au noeud lunaire (noeud en coin de nappe bien visible côté Balance) de plus noeud Sud (de l'Italie comme de l'axe  nodal..., en effet L.De Vinci veut indiquer une date précise). Platon séjourna longtemps à Syracuse (calembour : Sire accuse), et les plateaux de la Balance sont avec le glaive un des attributs de la Justice, la discussion sur sCène semblant d'ailleurs animée...
13élier et 13alance commencent par B les deux seuls du zodiaque avec cette lettre, laquelle s'écrit aussi d'enluminure 13 (treize), comme le nombre de personnages sur la sCène, cependant que deux autres signes commencent aussi par une même lettre, un V (qui est aussi le chiffre V romain (5) et aussi l'item principal du symbole Very-table de l'élément eau) : Vierge et Verseau (qui ne sont pas de cet élément) mais sont présents de part et d'autre du 13° personnage central...
Le V pouvant aussi faire allusion aux Vêpres Siciliennes...

Simon peut aussi être une allusion à Simon de Montfort, évoquant la bataille de Muret, d'ailleurs un muret est avéré par le devant de la nappe qui peut suggérer un plan vertical pour une courbe : celle des noeuds lunaires, l'écliptique (notion solaire) étant au centre, l'infra-déclinaison (sud écliptique : ligne du bas, le noeud lunaire sud étant clairement indiqué en coin de nappe à côté du personnage, et supra déclinaison : ligne du haut, le linge (anagramme de ligne) de la nappe étant celle avant le rebord de la table. NB : cette courbe est indiqué en beige sur mon croquis astro (voir rubrique astro et mon blog astro); Tout ceci est lié à la notion d'éclipse puisque la ligne des noeuds ou axe nodal est un potentiel écliptique, d'ailleurs un des personnages ne doit-il pas s'éclipser ?

Tandis que le signe de la Balance peut aussi évoquer le choix entre la constellation du Cygne et celle de l'Aigle (liés respectivement aux deux voisins que le personnage regarde et à suivre : le Scorpion (et Serpentaire associé) et le Sagittaire) puisque la voie lactée se sépare en deux après la constellation de Cassiopée, elle-même située entre Céphée & Persée (calembour : s'est fait...percer) et de plus faisant suite à la constellation la précédent sur la voie lactée : le Cocher (calembour : coché ou cocher) : oui, il s'agit bien de la procréation. Ce qu'indique le nom de Plat-on...avant un éventuel BomBé ([b]13[/b]om[b]13[/b]é, 2 x 13 lettres dans notre alphabet) ? Le bombé des courbes lunaires...et aussi celui des courbes féminines, à l'occasion ?
Maintenant compte tenu de ce qui précède, le vous laisse imaginer ce que représentait la voie lactée...oui, et c'était le référentiel de l'ère du Taureau puisque la voie lactée était alors en adéquation (par Sirius (comme Simon) juste à côté de la constellation de la Licorne et des Gémeaux, et c'était assez explicite) avec le point Vernal d'équinoxe de printemps (où l'on retrouve encore le V, et aussi dans Voie lactée)...

Cette société agraire de l'ère du Taureau d'il y a plus de 6000 ans recherchait avec sa sédentarisation au néolithique des repères pour une productivité optimisée : une fécondité à la fois de la terre à cultiver et des humains à procréer...
NB : la constellation de Cassiopée est constituée de 5 étoiles formant au choix en €, un 3, un M ou un W suivant sa déclinaison dans l'année, actuellement elle forme un 3 chaque soir au-dessus de nos têtes, légèrement vers l'est, attention la cinquième étoile (celle du bas) est moins visible que les autres et légèrement décalée... Le tout pas très loin de l'étoile polaire, tandis que plus à l'est vers l'horizon Saturne est très visualisable actuellement, très brillante le soir (dans la constellation du Scorpion)...
Et W (de Cassiopée) ramène à deux V liés, ceux de Vierge et Verseau ?
Depuis l'ére du Taureau (et son rituel de fécondité) : 90° d'arc se sont presque écoulés puisque nous en sommes (presque) à la fin de l'ère des Poissons, la précession des équinoxes remontant le zodiaque à l'envers...(Taureau, Bélier et enfin Poissons, cette dernière ère ayant commencé il y a de ça 2015 ans environ).

[b]Le signe du Scorpion[/b] est visible sur la fresque de La Cène de Léonard de Vinci, c'est le deuxième personnage en partant de la droite : [b]Thaddée[/b] officiellement, mais sous les traits de trois personnages possibles officieusement : Socrate, ou mieux Pythagore ou encore mieux Archimède...
La constellation du Scorpion est non seulement la plus explicite quant à cet animal dans le ciel et donc remarquablement repérable, mais également contenant des indications : en effet à partir d'Antarès son étoile principale se dessinent trois étoiles superposées à sa droite (vers l'Ouest) et peuvent symboliser trois niveaux, à savoir au centre l'écliptique solaire par nature et de chaque côté en haut et en bas deux pinces (une par étoile) et figurativement l'une pour la lune passant au-dessus de l'écliptique (supra-déclinaison), et l'autre pour la lune passant en dessous de l'écliptique (infra déclinaison), c'est la courbe nodale indiquée en beige sur le graphique astro, montant ou descendant de 6° environ (les notions de bas de de haut d'[b]Archimède[/b] ?), et qui donne lieu aux éclipses respectivement de lune et de soleil lorsque le croisement de la courbe avec l'écliptique est conjugué avec une pleine lune ou une nouvelle lune (et reprise sur La Cène avec les trois lignes horizontales du devant de la nappe qui tombe à la verticale pour dessiner comme un muret.

La constellation du Scorpion avec Antarès remarquablement située sur l'écliptique et donc sur le zodiaque est notamment surmontée plus au nord par le serpent (dont caput, le tête vers la droite, et cauda, la queue vers la gauche) lui même supportant la constellation d'Ophiuchus (faire le rapprochement avec le mot oeuf et ovule), l'ensemble (Serpent+ Ophiuchus) formant le 13° signe à valeur 0° mais indiqué pour mémoire : le Serpentaire, mais en fait il est souvent dessiné avec une pointe qui passe entre Scorpion et Sagittaire, c'est l'arrivée à l'autre bout du zodiaque de la voie lactée qui commence entre Taureau et Gémeaux, toujours ce rituel suggéré de fécondité.
Les imprimés bleus sur la table de La Cène figurent ce départ et cette arrivée de la voie lactée, passant derrière tous les personnages...

La constellation du Scorpion (au signe du Scorpion est liée la métaphore de la sexualité, et même génitalité) est donc surmonté vers le nord de la voûte céleste par la constellation du Serpentaire, puis par celle de Hercule et son fameux carré  : "C’est en partant de la diagonale que l’on construit le carré de surface double !" (d'après Socrate), effectivement chaque côté d'un carré est une diagonale en puissance pour créer un carré, faites l'essai sur les quatre côtés pour obtenir un autre carré deux fois plus grand et répéter l'opération : le carreau rouge de la carte à jouer peut s'inscrire dans un carré plus vertical, qui peut aussi produire un carré façon carreau de carte et ainsi de suite...
Cette même constellation d'Hercule (et donc son fameux carré, mais qui dit carré dit aussi [b]Pythagore[/b] avec sa suite 3²,4²,5²) est elle-même surmontée tout au nord par la constellation du Dragon et spécifiquement ici sa tête, qui évoque un pendule (celui du professeur Tournesol (tour, noeud, soleil), un nom afférent à la précession des équinoxes, puisque le soleil décale sur le tour du zodiaque de 1° tous les 72 ans le point d'équinoxe de printemps (la fameuse précession des équinoxes). La constellation du dragon se termine par l'étoile polaire, en queue de petite ourse aussi.

Tout cet échafaudage au-dessus du Scorpion indiquerait : le pendule et son rapport au hasard pour la tête du dragon, Her[b]cul[/b]e et son carré, mais accompagné de quatre pattes qui dépassent à l'extérieur à chaque angle  "quatre jambons suspendus au même clou dans un (lit) carré", puis Ophiuchus et sa forme d'oeuf ou ovule et le Serpent les deux formant Serpentaire évoquent la fécondation (le Serpent et le Pomme ?), et enfin le Scorpion mais qui est aussi surmonté par son extrémité Est à gauche côté queue (la sienne) et aussi côté queue de Serpent la constellation du Cygne en forme de croix qui reçoit par l'étoile Deneb la partie de voie lactée qui s'est séparée en deux après Cassiopée, Deneb étant le haut de la croix ainsi formée. mais également le "derrière" du Cygne.
Les deux tréteaux (très tôt)  de la table de La Cène souligneraient à droite cette séparation en deux de la voie lactée ? Tandis que l'autre partie de la voie lactée est destinée à Altaïr, la tête de l'Aigle, constellation plus dirigée vers le Sagittaire...

[b]Aucun autre signe (cygne) du zodiaque n'a autant d'affinités avec son ancienne constellation de référence...[/b] :61: (et avec les autres constellations plus au nord), Autrement l'axe nodal ([b]des noeuds lunaires[/b]) ou potentiel écliptique (courbe beige du début et qui convient si bien aux pinces du Scorpion)) étant aussi appelé axe du dragon, à ne pas confondre avec la constellation du dragon, mais les deux sont (son) liés par un nom, et ce n'est pas un hasard...
[b]Thaddée[/b]..et un [b]tas de[/b]ssiné dans le ciel, c'est un [b]tas de(s)[/b] constellations superposées du sud en montant vers le nord, soit de bas en haut... (Archimède ?, de Syracuse et à qui est attribué l'invention d'un machine de guerre : le Scorpion)

[b]Le signe du Sagittaire[/b] est visible sur la fresque de La Cène de Léonard de Vinci, c'est le troisième personnage en partant de la droite : [b]Matthieu[/b] officiellement et officieusement des personnages précédemment évoqués Roi René (Duc de 13ar, entre autres) ou le Duc de 13erry (et ses très riches heures en enluminure, afférentes notamment aux saisons et au zodiaque)...
Mais la constellation du Sagittaire se situe dans l'alignement de celle de l'Aigle qui la surplombe par la queue, elle même une des deux branches "finales" de la voie lactée, l'autre branche étant constituée par le Cygne qui surplombe le Scorpion et liés à la fécondation, la voie lactée est rappelée sur la table avec l'un-primé bleu à plusieurs motifs (!) et au-dessus d'un tréteau sous les deux personnages-signes concernés rappelant ces deux directions.
Le Sagittaire avec ses deux bras tendus vers sa droite rappelle l'ère du Taureau sous son bras droit, sur la table (référence initiale de la voie lactée en point vernal ou équinoxe de printemps), mais cette ère (qu'on agite, [b]s'agite ère[/b]) c'était avant, [b]c'était hier[/b], oui, [b]c'est théière[/b]... comme la forme de la constellation du Sagittaire, bien connue pour avoir cette forme (lien N°2) the famous "[b]teapot[/b]", que reprend de forme et de fond ce personnage en bleu qui semble s'agiter en l'air...
Le Sagittaire est donc ici la non-fécondation (par la voie lactée) la 13alance hésitait entre les deux "[b]S[/b]" de [b]S[/b]corpion et de [b]S[/b]agittaire (comme le royaume des [b]2 S[/b]iciles aussi, six ils ou si-si L) , avec le Scorpion on passe à la notion de mois (12 dans l'année lunaisons synodiques Soleil + Lune (alchimie symbolique de la fécondation), 9 mois envie-rond pour la gestation), tandis qu'avec le Sagittaire il faut remettre ça ([i]sidéré ?[/i]) à 13 tours de Lune (seule), lunaison sidérale de "28 jours", les deux bras du Sagittaire indiquant un sens obligatoire, un recommencement ([b]René[/b]-sens), dirigés vers les Gémeaux & Taureau entre lesquelles constellations démarre la voie lactée de l'autre côté du zodiaque, parce que [b]voilà que t'es[/b] passé à côté (et au XV° siècle pour un roi ou une reine, ça ne le faisait pas, son rôle (surtout à elle) était de produire des héritiers (mâles si possible)...
Le Taureau (3° personnage à partir de la gauche) les mains en l'air laissant entendre que ce n'est pas de sa faute ce coup de piste olé de voie lactée ([i]il [b]S'y raccuse[/b] ?[/i]) : l'[b]A[/b]bbé [b]C[/b]hamelle ([i]à deux bosses, celles des Gémeaux ?[/i]) était initialement bon(ne) au hasard pour l'[b]A[/b]igle ou le [b]C[/b]ygne, le premier présentant (à la voie lactée) son bec en Altaïr, et le second présentant (à la voie lactée) son derrière en [b]D[/b]eneb, son bec à lui étant en albiré[b]O[/b]  (tiens : Albi et la note [b]DO[/b]), la denrée étant Paté-tiquement [b]13érri[/b]sable ?
Au final pour les deux Signes en [b]S[/b] après la césure de la voie lactée venue d'en face (Taureau-Gémeaux), ça donne ça par [b]C[/b]ygne ou [b]A[/b]igle : C[b]y[/b]gne + [b]S[/b]corpion = [b]Sy[/b]nodique (gestation), et A[b]i[/b]gle + [b]S[/b]agittaire = [b]Si[/b]déral (à nouveau)...

Le Verseau est visible sur La Cène de Léonard de Vinci, c'est le sixième personnage en partant de la droite, sous les traits supposés de Philippe III Le Hardi (fils de Louis IX dit Saint-Louis), qui participa à la croisade d’Aragon, il pointe le doigt en l’air pour montrer un porc-épic (en filigrane dans le pilier), allusion à la légende du martyr de Saint Sébastien (flèches et épines…), un ordre de chevalerie portera le nom de cet animal qui deviendra emblème royal au château de Blois… (à suivre...)