Astrologyves, astres aux lots givrés ?: Pleine Lune de Périgée du 14 Novembre 2016 : Super Lune du siècle ?

dimanche 6 novembre 2016

Pleine Lune de Périgée du 14 Novembre 2016 : Super Lune du siècle ?

Astra inclinant sed non necessitant : si les astres prédisposent, ils ne décident pas...

14 novembre 2016

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Astro-Aberration Bling-Bling : Jeux et Astres, mais prono :

Sur ce post : des pronostics de N° pour jeux de loto ou kéno ou €M pour chaque signe (4 par signe, hormis le 13, pour 12x4=48 numéros sur 49) Exit le 13 au loto, et aussi le 50 à l'€M (ainsi que 50 à 70 pour le kéno). Il s'agit là d'un amusement parce que les numéros n'ont pas de date de naissance, mais c'est pour le gag ! Cela se pratique dans la presse, ceci sans aucun sans fondement, c'est en fait une aberration astro, mais : et si ça "marchait" ? Au loto par ex. un 4/5 donne + ou - 1000 € pour 2€ ! Donc pour chaque signe : c'est du bidon, et uniquement pour le fun, et parce qu'on me le demande souvent ! :

Bélier : 4-29-37-49

Taureau : 5-18-21-36

Gémeaux : 14-23-27-44

Cancer : 7-32-41-46

Lion : 6-8-16-45

Vierge : 22-31-43-48

Balance : 10-20-26-33

Scorpion : 11-35-38-47

Sagittaire : 9-12-30-39

Capricorne : 1-19-24-40

Verseau : 2-15-28-42

Poissons : 3-17-25-34

P.S. : Il ne faut pas confondre avec les courses de chevaux, où un vrai prono astro est réalisable en fonction d'un transit astral d'un jour sur un thème de naissance, parce qu'un cheval a bien une date de naissance, lui ! d'où la rubrique prono astro-tiercé en haut de ce blog...

D'autre part chaque signe peut avoir des périodes de chance évidentes (souvent des aspects à Jupiter et à Vénus), rien à voir avec cette distribution proposée de numéros, mais comme le champ a été fait à 48 N° sur 49, il sera intéressant de voir ce que cela donne comme résultats, et ceci très arbitrairement...

L'astrologie, Science Première...

L'ASTROLOGIE EST UNE SCIENCE PREMIERE...
(AU MÊME TITRE QU'IL EXISTE DES ARTS PREMIERS),
parce qu'elle est une donnée empirique fondamentale :
L'astrologie semble s'être imposée dans la protohistoire : période du symbolisme avant l'écriture. En fait l'histoire de l'astrologie est concommitante à l'évolution de l'espèce humaine et donc à l'histoire de l'humanité, l'histoire se définissant par rapport à la préhistoire comme la période où l'on commence à trouver des traces tangibles définissables comme écriture (ceci non exhautif d'un symbolisme subséquent).

L'histoire proprement dite suivant ce critère commence il y a maximum 8000 à 10000 ans (écriture cunéiforme sur tablettes d'argile séchées), post mésolithique, cette période intermédiaire entre le paléolitique supérieur et le néolithique. Le mésolithique fait suite à la fin de la grande dernière glaciation sur notre planète avec pour corollaire que l'homme, de sa condition de chasseur-cueilleur nomade dans un décor naturel préimposé qu'il subissait, devient peu à peu agriculteur sédentarisé en impliquant la nature environnante végétale et animale dans une trilogie "sauvage, mutant, domestique", adaptation rythmée par une perception totémique et chamanique de repères spatio-temporels dans l'observation évolutive et significative du ciel nocturne : les interférences soli-lunaires, et in-extenso la mobilité des astres (mobiles=planètes) sur une toile de fond (la voûte céleste), telle de l'art pariétal figuratif, en l'occurence une disposition stellaire suggestive et évocatrice accomodant la créativité d'un répertoire de constellations nominatives où s'interpellent le réel, l'imaginaire et le symbolique, tripartition dans une pétition de principe d'appel au concret : le syndrôme du souhaitable(*1a).

Le support interprétatif des faits observés de mouvances nocturnes en relations analogiques forme et fonde la palette des premiers éléments signifiants animés et animistes nécessaires et suffisants pour instaurer une organisation comportementale culturelle (agraire dans un premier temps, allégorique ensuite) en donnant lieu à des prémices de concepts intellectuels dont un essentiel pour l'époque et que nous appelons aujourd'hui bien simplement : le calendrier, soit donc la possibilité d'établir un espace de vie en fonction du temps (qui passe et qu'il fait), et puis progressivement l'alliance & l'échange advinrent coutumiers d'un mode de vie convenant notions de famille et de propriété intimant de fait les fondements d'un formalisme sociétal primitif et civilisateur dans le registre du sédentaire.

Le formatage calendaire en dodécade(*1c), élément ordonnateur d'un archétype palpable soli-lunaire induit et conscientisé s'imposa interactivement comme une structure à effet comportemental et comme processus identitaires et idéologies, l'approche cognitive permettant alors suffisamment de gestion prévisionnelle expressement et expressivement venue du ciel (au point de rapprocher les mots culturel et cultuel, et devin et divin ?), et dèslors le concept intellectuel dodécadaire du mandala constellaire en ciel nocturne concurrence et complète le concept primaire naturel et physique de décade provenant basiquement du comptage des doigts des deux mains(*1d).

Il est admis que la Méditerrannée et le Danube furent les deux axes de diffusion de l'agriculture depuis le moyen orient, vulgarisant l'astrologie qui serait née en Mésopotamie puis aurait été exportée depuis le "croissant fertile", au nord du désert d'Arabie, avant de descendre également par le moyen orient vers l'Egypte, et d'être reprise par les grecs, puis les romains, puis en Gaule et en France jusqu'en 1666, date à laquelle Colbert la fit interdire à la Sorbonne suite à la vague de cartésianisme de la période dite "moderne" qui commence au XVIIème, avec Descartes, Pascal et autres, faisant suite aux périodes médiévale et ancienne, cette période moderne instituant les motivations rationnelles de notre période contemporaine.
L'astrologie, système géocentrique, perd lors ses dimensions de perceptions subjectives à la fois intuitives, instinctives, irrationnelles et fonctionnelles au profit du nouveau système héliocentrique objectif, défini comme rationnel, et officialisé : l'astronomie, qui la supplée(*1b).
On peut considérer que l'astrologie est aujourd'hui une "science morte", au même titre que le latin et le grec sont des langues mortes pour le français, et en fait elles occupent tout le terrain sous-jacent culturel, il en va de même pour l'astrologie incluant diverses traces mnésiques symboliques additives des différentes civilisations traversées.
Et c'est cette richesse là qui la rend intéressante.
On se penchera sur les définitions essentielles de "phénoménologie" et de "structuralisme" pour l'appréhension du passage du 13 au 12 : il existe bien au moins treize révolutions lunaires complètes par an (13x28=364), mais seulement 12 soli-lunaisons complètes par an (12x29,5=354)(3-5-4, 3-4-5 : Pythagore?),voir avant dernière page de ce site.
« Le principe fondamental est que la notion de structure ne se rapporte pas à la réalité empirique, mais aux modèles construits d’après celle-ci »(Cl.Lévi-Strauss).

On notera que l'histoire, liée à l'écriture, datée au maximum à -10.000 ans avant l'époque actuelle, ne représente que 400 générations de 25 ans (à quatre par siècle), ce qui est relativement proche et révélateur de la rapidité d'assimilation du fait philogénétique.

(*1a): Cet aspect de l'évolution de l'espèce humaine post mésolithique est celui présenté comme tel...officiellement, mais à contrario il pourrait être envisagé que la psyché humaine ait eu assez d'approche cognitive par une astrologie de tradition orale ou rupestre pariétale, pour favoriser ce processus d'évolution, ce qui ferait de l'astrologie une cause et non un effet, et ce dès le paléolithique supérieur (Aurignacien, Gravettien, Solutréen, Magdalénien : -31000, -23500, -17200, -11400 ans).
(*1b): Cette mutation s'opère après les travaux de Galilée et Copernic, mais l'héliocentrisme a bien pu être découvert antérieurement mais ignoré pour les questions philologiques ou religieuses.
N.B.: Dans les deux cas, le déni du mot "astrologie" accentue la béance de l'énigme.
(*1c): Il s'agit là d'une sélection dans la voute étoilée de douze constellations afférentes à l'écliptique : la course apparente du soleil, valorisée par les 12 pleines lunes annuelles, le rapprochement pouvant être effectué avec l'art rupestre, préhistorique et tribal, le plus souvent art de pouvoir, dont les symboles sont conçus pour faciliter la vie, chercher de l'aide auprès de puissances extérieures, avoir une meilleure prise sur le réel comme sur le monde des esprits auquel il est inextricablement mêlé; dans le monde entier, cet art a été choisi comme vecteur des mythes sur la Création du Monde.
(*1d): Le concept intellectuel astrologique a permis d'agir, de modifier, de transgresser la nature, à toutes fin d'essayer de pouvoir la dominer.

Clair-Obsur

CLAIR-OBSCUR:
Cette "relation intrisèque contenue d'un rapport jour-nuit dans chaque signe du zodiaque" est l'expression de deux forces cosmologiques jour-nuit dans des rapports croissance-dominance, prémices justifiants et justifiés de la constitution relationnelle de la psyché humaine qui les a perçus et conscientisés.
Cette expression (le clair-obscur) afférente à une technique inventée par un peintre et utilisée également au cinéma, traduit bien la surprise de voir ainsi réunis deux symboles, l'un (réputé) oriental et holistique : celui du Tao, et l'autre fragmentaire et fragmenté : le Zodiaque occidental, mais ainsi conjugés ils se complètent très bien dans l'expression d'un bon sens traduisant au mieux une perception symbolique de la succession cadencée des saisons sous forme d'un mandala quaternaire harmonique, la course dynamique et sans heurts de la fonction solaire déployant ainsi les signes sur un mode séquentiel, et obligeance des extrapolations culturelles ethnologiques conceptuelles archétypales associées (autrement dit : les schèmes d'une civilisation appartiendraient à l'humanité toute entière, cf.: champs morphogéniques), quelques éclaircissements dans l'obscurantisme sont nécessaires, tout en restant sur la même ligne de mire blanc-noir, base binaire et bipolaire.

Pléthore de rhétorique :
Est généralement admise la disposition symbolique du Tao comme évoquant le Yang et le Yin, forces cosmologiques symboliques d'une alternance et interaction masculin-féminin (*3c). Dès lors,vont nous intéresser ici la dernière lettre du Yang, le G, et du Yin, le N, pour évoquer les deux principes grammaticaux :
G pour principe de : Genre,
N pour principe de Nombre,
(de quoi en tomber à GeNoux!, mais n'anticipons pas!).
En fait ce petit jeu permet de passer :
du Blanc-Noir = Masculin-Féminin...au Blanc-Noir = Singulier-Pluriel,
Objection d'argumentaire : Reste cependant à voir si le Blanc, masculin peut-être associé au singulier et si le Noir, féminin peut être associé au pluriel, tant il est étonnant de constater que dans la mythologie Mars était l'amant, et que Vénus était mariée à Vulcain, actable :
-MARS = Masculin,((*3a)
-VULCAIN & VENUS = une dyade : unité de complétude dans la dualité synergique des fonctions séduction-procréation, explicite de l'investissement narcissique féminin (Fait mine UN? pour deux nier : S du deux de deniers dans le jeu de tarot)(*3b).

En outre et autre argument, le Blanc du schéma dessine un 6 (VI en chiffres romains), le noir dessine un 9 (IX en chiffres romains), et le 6 et le 9 ressemblent (étrangement?) au symboles respectifs des planètes Mars et Vénus, planètes en domicile respectif de chaque signe de post-équinoxe justifiant alors une fonction également de nombre : singulier-pluriel, l'équinoxe marquant l'accession à la dominance de l'un par l'autre alternativement par la croissance médiane devenant ensuite majoritaire.
(et il sera passé sous silence ce à quoi votre esprit aurait pu vous amener à panser la panse de vos pensées allumées quant à l'alliance du 6&9)

Mais revenons en au principe de Nombre (seul, si l'on peut dire):
Le 6, Blanc, symbolisant la croissance, puis la dominance du jour sur la nuit peut être associé à la notion d'individu : LE SINGULIER
Le 9, Noir, symbolisant la croissance, puis la dominance de la nuit sur le jour peut être associé à la notion de pluralisme : LE COLLECTIF

La phase du Blanc est figurative de l'Individuel, celle du Noir du Pluralisme,
le Zodiaque au symbole Tao intégré figure le support intrisèque et explicite causal ou acausal du:
RAPPORT EN JEU DU COLLECTIF ET DU SINGULIER :
-JOUR=JE (in extenso : Blanc, jour, je, jouer, jouir)
-NUIT=NOUS (in extenso : Noir, nuit, nous, nouer, nuire)
(toujours de quoi en tomber à GeNoux!)

Astrologie panégyrique Freudienne, ou Freudisme panégyrique astro :
La partie inférieure du zodiaque (signes du printemps, été) associée dans les schémas à une dominance du blanc-Jour-Je peut représenter l'instance du "ça" freudien.
La partie supérieure du zodiaque (signes de l'automne et l'hiver), associé à une dominance du noir-Nuit-Nous peut représenter l'instance du "surmoi" freudien.
A noter que peut être schématisée l'instance du "moi" de la seconde topique freudienne en axe Ascendant-Descendant théorique des équinoxes.

PLANETES : Domicile & Exil, Exaltation & Chute :
La visualisation du schéma obtenu (tao+zodiaque) est également fondamental pour justifier les emplacements théoriques des planètes dans les signes : ainsi Mars, en domicile en cuspide d'équinoxe de printemps (Bélier), trouve sa justification d'exaltatation en cuspide de solstice d'hiver (Capricorne) en rapport à l'émergence de la croissance du Blanc-Jour-Je; de même, Saturne, en domicile en Capricorne (cuspide de solstice), trouve sa justification d'exaltation en Balance (cuspide d'équinoxe), en rapport à l'émergence de la dominance du Noir-Nuit-Nous.

PSYCHO : il est bien évident que les rapports Jour-Je et Nuit-Nous constituent nécessairement une base empirique de psychologie. Celle-ci s'exprime figurativement dans la figure 4 page précédente pour chaque signe. Cette figure 4 est essentielle pour bien comprendre l'astrologie.

SYNTAXE : Le principe de Genre fait ajouter un "E" au féminin, le principe de Nombre fait ajouter un "S" au pluriel (Equinoxe commence par un E, et Solstice par un S...).

(*3a)et(*3b):en référence au syndrôme de la "couvade", où il est question d'opposer deux pouvoirs : l'un dit "pouvoir phallique", et l'autre dit "pouvoir utérin", on rejoint ainsi le Yang et le Yin symboliques.
(*3b): la synergie des V de Vulcain et de Vénus peut se schématiser en un X : un V à l'endroit, l'autre à l'envers, ce dernier rappelant la lettre grecque lambda ou le "chevron", voir également le mythe du vendredi 13.
(*3c): en fait dans l'astrologie chinoise (et comme dans l'occidentale), le transit de deux ans de Mars sur le zodiaque est binaire : une année yang et une année yin. La transposition du shéma est faite ici sur un mode annuel pour exprimer la singularité réelle (je) de MARS et le pluralisme pseudo-virtuel (nous) de VENUS (& Vulcain).

LES 12 Signes-Métaphores du Zodiaque

LES 6 METAPHORES DU SINGULIER, dominance du JE (JD = Jour Dominant en durée sur la Nuit) :
Individuel de l'avoir, Printemps :
-BELIER (JC1/JD= : Métaphore de L'INTRICATION PULSIONNELLE (Martienne)
-TAUREAU (JC2/JD) : Métaphore du CHARNEL (Vénusienne)
-GEMEAUX (JC3/JD) : Métaphore de LA DECOUVERTE IMMEDIATE (Mercurielle)
Auxilliaire conjugé correspondant : 1)J'ai, 2)tu as, 3)il a.
Individuel de l'être, Eté :
-CANCER (NC1/JD) : Métaphore des ORIGINES (Lunaire)
-LION (NC2/JD) : Métaphore du REFERENTIEL (Solaire)
-VIERGE (NC3/JD) : Métaphore de LA RAISON (Mercurielle)
Auxilliaire conjugé correspondant : 1)Je suis, 2)tu es, 3)il est.

LES 6 METAPHORES DU PLURIEL, dominance du NOUS (ND = Nuit Dominante en durée sur le Jour) :
Pluralisme de l'avoir, Automne :
-BALANCE (NC1/ND) : Métaphore de LA PULSION GREGAIRE (Vénusienne)
-SCORPION (NC2/ND) : Métaphore de LA SEXUALITE (Martienne)
-SAGITTAIRE (NC3/ND) : Métaphore de L'AILLEURS (Jupitérienne) Auxillaire conjugé correspondant : 1)Nous avons, 2)vous avez, 3)ils ont.
Pluralisme de l'être, Hiver :
-CAPRICORNE (JC1/ND) : Métaphore de LA SOCIETE (Saturnienne)
-VERSEAU (JC2/ND) : Métaphore de L'IDEALISME (Saturnienne)
-POISSONS (JC3/ND) : Métaphore du MYSTICISME (Jupitérienne) Auxillaire conjugé correspondant : 1)Nous sommes, 2)vous êtes, 3)ils sont.

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